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Qu'est ce qui lui a prit ce jour là ?
 
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 Sean Wood | Finished

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Sean Wood

Sean Wood


Masculin Nombre de messages : 5
Age : 34
Love : *Bâille* Ma soeur, qui d'autre?
Emploi/loisirs : Chanteur, musicien/Défaire mon lit à deux?
Humeur : Vraiment nulle. Ça me prendrait une bière.
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MessageSujet: Sean Wood | Finished   Sean Wood | Finished EmptyJeu 11 Oct - 2:57

I.Votre identité :



    Nom : Wood, qui est le nom de mon père, Jonathan Daniel Wood. Je n'ai pas hérité du nom de ma mère bien heureusement qui est d'un commun presque effroyable. Cherchez le nombre de familles Smith aux États-Unis, vous en trouverez d'abord quelques milliers, dont la quasi-totalité ne sont pas du tout parents avec moi. Pourquoi est-ce que je parle de ça? Je n'en ai aucune idée, mais ça vous donnera une petite idée sur le fait que je m'attarde parfois sur des détails...
    Prénom : Sean, parce que mes parents avaient en tête un prénom tout à fait non-original, aussi parce qu'ils trouvaient ça mignon, que ça donnait une allure de petit ange. Innutile de dire que leurs aspirations à ce niveau ont lamentablement échoué. Mon deuxième prénom est Jonathan, le prénom de mon père, la seule trace qu'il me reste de celui-ci et qui me rappelle que je suis né de deux... Enfin, bref, je m'appelle Sean Jonathan, pas besoin d'en rajouter et de s'éterniser là-dessus.
    Surnom : Le croulant... Mais ça, c'est uniquement pour ma soeur. Les gens ne me surnomment pas, parce qu'en réalité je n'aime pas trop les surnoms. C'est niais et ça ne sert à rien. Si on devient paresseux au point de ne pas être foutu de prononcé des prénoms, c'est claire qu'on n'arrivera jamais à rien. Bien sûr, je me laisse parfois aller moi-même aller à cette petite faiblesse, mais très rarement. Je n'aime pas les surnoms. Les seuls moments où je vais en donner des trops barbants aux gens, c'est pour les énerver. Si on y pense, ça peut arriver assez régulièrement. Mais je peux me montrer gentil, donc je modère mes paroles.
    Âge : Sérieusement, vous me donnez quel âge? J'ai 30 ans, un véritable vieillard. À quand les cheveux gris? J'ai même pas envie d'y penser, en fait vieillir m'inquiète un petit peu, mais rien pour m'empêcher de continuer pleinement ma vie de débauche et de liberté...
    Groupe : Les Rebelles, et je suis chef en plus, c'est pas beau ça!? Enfin, rebelle. Je ne me considère pas froncièrement comme un reelle, je tente simplement de remettre les choses à leur place, vous savez...COMME IL SE DOIT!
    Votre travaille : Je suis musicien et chanteur. Pas très célèbre, je l'accorde, mais je marche plutôt bien, la preuve je suis encore en vie! De toute façon, percer et devenir une superstar ne m'attire pas tant que ça, sauf peut-être pour multiplier les conquêtes, ce qui est non-négligeable quand on y pense. Je devrais peut-être réviser mon avenir en tant que musicien et chanteur... Mais ça c'est une autre histoire, bien visiblement.


II.Votre caractère & votre physique:




    Caractère : Ouah, quel calme. C'est la première réaction qu'ont la plupart des gens en me voyant pour la première fois, et bien entendu ils ont pas tout à fait tord, même si cette attitude calme qui impressionne bien des gens ne sert qu'à cacher mon énervement régulier, mon impatience, ma mauvaise humeur et tous mes défauts plus nombreux les uns que les autres. J'ai bien entendu des qualités, mais lorsqu'on doit m'endurer durant des heures de temps à râler et à jouer les emmerdeurs, ceux-ci sont bien évidemment remis en question. Et je ne blâmerai jamais quelqu'un qui le fera... Ou peut-être bien, en y repensant.
    Le défaut le plus flagrant chez moi est probablement mon attitude colérique qui donne l'impression que je vais commettre un meurtre, une idée qui ne me paraît pas si folle que ça de temps à autres, mais qui bien entendu n'est que passagère car le meurtre n'est pas du tout dans mes aspirations. Simplement, je deviens une véritable furie et l'expression "aveuglé de rage" prend tout son sens. Je ne regarde plus où je vais, je crie à tue-tête à qui veut bien m'entendre ou n'a pas le choix de m'entendre, plutôt, je frappe dans les murs ou dans tous les objets à portée de main, peut-être même un être humain de temps à autres si celui-ci n'a vraiment pas de bol. En bref, une véritable meurtrière qu'est ma colère que je digère avec beaucoup de difficulté. J'ai longtemps tenté de travailler ce point de mon caractère, mais ça n'a pas marché.... Ce qui nous emmène à mon prochain défaut, l'impatience. Je ne suis pas capable de faire quelque chose, j'enchaîne échec sur échec? Parfait, j'arrête tout. Telle est ma règle, pourquoi se casser la tête à faire un truc qui ne rime pour la plupart du temps à rien du tout qu'à vous faire vous énerver et perdre votre temps? Demander quelqu'un de le faire à ma place, c'est souvent l'option envisageable. Sauf si ce quelqu'un est une femme....
    Je suis un de ceux qui n'a pas réussi à se résoudre à ce que les femmes soient plus fortes, ce qui d'après moi est totalement faux, totalement stupide et irréfléchi. Qui donc réussit à croire de telles sornettes?! Une femme ne peut pas être plus forte qu'un homme, les femmes ont besoin des hommes. C'est ainsi que je le vois, ainsi que je l'ai toujours vu, ainsi que je le verrai toujours. N'allez parcontre pas croire que je n'aime pas les femmes. Je les aime, lorsqu'elles ne se trouvent pas une certaine supériorité et tant qu'elles veulent se limiter à l'aspect Physique de la chose. Je ne suis pas un sentimental, n'importe qui pourrait le remarquer à moins d'être froncièrement stupide. La seule personne pouvant mériter de la véritable affection, c'est ma soeur. Je me sens toujours un peu responsable d'elle, même si il faut admetre qu'elle est tout à fait apte à s'occuper d'elle-même maintenant.
    Je suis très impulsif. Je réagis au quart de tour, parfois même si mes réactions sont complètement stupides. Ce que j'admets, pas du tout orgueilleux. Bien sûr, j'ai une certaine fierté, mais ce n'est pas le premier de mes soucis. Je peux souvent tourner les choses à l'autodérision et je suis le premier à réagir lorsque les choses deviennent un peu trop tendues, ce qui m'agace au plus haut point. Même si je suis un grand colérique, les atmosphères de colère m'agacent. Comme quoi il est peut-être vrai que nos propres défauts nous énervent lorsqu'ils viennent de l'extérieur. Deux éléments semblables se repoussent, cour de physique 101.
    J'adore le sarcasme, l'ironie, tout ce qui fait rire les gens mais qui me font garder mon sérieux. C'est parfois à se demander si les gens se foutent de moi, ou si moi je me fous d'eux ce qui est quand même le cas assez régulièrement si on y pense bien. Je n'aime pas me laisser faire, et lorsque je sais que l'on me manipule, je manipule à mon tour. Oeil pour oeil, dent pour dent. Si les choses marchaient toujours comme ça, peut-être qu'on arriverait à quelque chose...
    C'est peut-être d'ailleurs parce que je ne me laisse pas marcher sur les pieds que je suis toujours à la tête des groupes. En effet, il m'arrive très rarement ou quasiment jamais de me faire donner des ordres, sinon j'agite très clairement un doigt d'honneur en direction de celui qui ose se prendre pour mon supérieur. Personne ne m'est supérieur, les gens sont tous égaux. Certains ont simplement besoin qu'on leur dicte quel chemin prendre pour servir réellement à quelque chose. Je prends volontairement le rôle de berger pour les pauvres moutons qui décident de me suivre. Moutons, façon de parler, simplement il fallait quelqu'un qui ait la tête dûre pour le rôle de chef et la mienne s'avère à être pire que du béton. Sauf en quelques cas exceptionnels.. Mais je ne le montre pas. Je suis quelqu'un de très nerveux, mais pas dans le sens du type maladroit qui va tout foutre en l'air. Je réfléchis trop probablement et surtout, je doute souvent de mes idées et de mes convictions. Ce que je pense être bien ne l'est pas toujours, et c'est justement des plantages excessifs que je crains toujours. Je suis nerveux, je vais l'assumer, mais aussi plutôt perfectionniste. Alliez ces deux traits de caractère, vous vous retrouvez dans un carnage intellectuel intense, exactement ce que je subis.
    Je suis intelligent, bien entendu, un peu plus fort que la moyenne probablement. Pas trop dûr à battre, puisque la moyenne, c'est les femmes maintenant. Comment a-t-on pu se faire envahir par des femmes, se faire dominer par des femmes? L'homme a perdu son statut, et c'est ces temps-ci la grande raison de mes crises de colère. Enfin, comme si ça me prenait vraiment une raison pour être en colère...
    Enfin bref. On ne s'attardera pas sur le sujet de ma colère. Un des remèdes à celle-ci est bien sûr mon indépendance chronique dont je suis atteint depuis tout jeune. J'ai besoin de faire les choses par moi-même, je déteste que ma liberté soit brimée. Le simple fait que l'on m'interdise de faire comme je l'entends me fait rager, c'est pourquoi je préfère m'éloigner et aller faire les choses à ma façon. Exactement comme j'ai fait avec mes parents. D'ailleurs, je m'en suis plutôt bien tiré pour un mineur à l'époque. Débrouillard de nature, je n'ai pas eu trop d'ennuis à m'arranger par moi-même. Le seul hic parcontre à cette nature qui a fait de moi un être voulant à tout prix s'occuper de tout, c'est que je m'attarde parfois sur des détails qui frisent l'obsession. J'ai besoin que tout soit exactement comme je l'entends et si les choses prennent un autre tournant, deux options s'offrent : une crise de nerfs, ou un besoin intense de ramener les choses à leur cours normal. Qui a dit que les femmes uniquement avaient droit à être perfectionnistes? Certains le pensent, d'ailleurs je déteste que l'on mette les femmes sur un piédestal. Je suis jaloux, mais pas orgueilleux, parcontre je ne comprends pas pourquoi celles-ci devraient avoir une quelconque importance. Les choses devraient être commes elles étaient. Je suis un peu conservateur, pas macho.. Enfin, un peu peut-être, mais conservateur vient devant.
    J'ai aussi un sens très critique. Je suis intolérent, en plus d'être impatient comme je l'ai déjà dit plus tôt. Si quelque chose ne me plaît pas, vous le saurez bien assez vite. Je déteste supporter des trucs agressants trop longtemps, ça me rend complètement dingue.

    Aimes : Si la vie devait garder le même sens pour toujours, du moins ma vie à moi, ce serait probablement ce vieux dicton ô combien légitime "Sex, drugs and Rock'n'Roll" qui prendrait le dessus sur ma personnalité. J'assume pleinement le fait que je sois un peu débauché, et d'ailleurs les femmes sont un intérêt particulier dans ma vie, d'abord qu'elles ne viennent pas demander plus qu'une étreinte passagère. Des sentiments de ma part, si on ne s'appelle pas Ashley Wood, il ne faut pas en demander puisqu'il vous saura probablement donné comme seule réponse que de vous faire rire au nez. Ma soeur est dans mes intérêts. Je pense que c'est la seule véritable personne qui mérite d'ailleurs mon intérêt. Bien sûr, la musique est aussi primordiale dans ma vie. Sinon je ne serais peut-être pas vivant à l'heure qu'il est. C'est avec la musique que je gagne ma vie, je ne vois pas vraiment d'ailleurs ce que je pourrais faire d'autre de ma peau mis-à-part ça. La musique, les femmes, ma soeur... FLâner et la liberté, embêter les gamins et leur faire peur, ce sont des petits plaisirs qui me sont aussi familiers. J'aime les orages, le tonnerre, les pannes de courant. J'adore passer des jours entiers à dormir ou à me pavaner en sous-vêtements dans mon appartement, fumant cigarette sur cigarette et grattant ma guitare. J'aime l'odeur de la peau qui vient d'être lavée, ou celle d'une piscine avec beaucoup de chlore. Une chose que j'aime pardessus tout, c'est probablement les gens qui ont assez de front pour s'exprimer sans avoir l'air de parfaits imbéciles. Ces gens et uniquement ces personnes peuvent se vanter d'avoir mon total respect. J'aime délirer durant des heures et sortir trop tard le soir pour boire des litres et des litres d'alcools plus forts les uns que les autres. J'aime finir la nuit accompagné, j'aime les nuits fraîches de l'automne où j'entre dans ma chambre et les fenêtres sont restées ouvertes, ce qui donne un aspect glacial mais tellement agréable. J'aime rester sur les quais à Coney Island, Brooklyn. On y rencontre des gens plutôt bizarres, mais ô combien sympathiques lorsqu'on prend le temps d'observer. J'aime les cigarettes, mais uniquement les Players. Je consomme de temps en temps Marie-Jeanne, mais rien de bien grave. J'aime me la couler douce, on l'a certainement remarqué déjà, et j'aime pouvoir faire les choses qui me plaisent, sinon il est certain que tout risque de me déplaire.
    Aimes pas :Je n'aime pas les gens prétentieux, qui se croient au dessus de tout. J'ai horreur que l'on se mêle de mes affaires ou pire encore, que l'on fouille dans mes tiroirs. Une fille a fait ça une fois, innutile de dire que je l'ai virée à coups de pieds dans le derrière et que je ne l'ai plus jamais recroisée par après. J'ai une sainte horreur de la couleur rose, le rose pâle en particulier. Ça me rend agressif et c'est terriblement féminin, donc techniquement déjà là ce n'est pas dans mes cordes. Je hais les chanteuses pop, les fillettes qui se promennent dans les rues et prétendent être de grandes filles, quand personnellement il m'arrive de douter de leur puberté. Je n'aime pas lorsqu'il fait trop chaud, surtout lors des canicules, alors je suis d'une humeur massacrante. Je déteste que l'on me provoque, que l'on fasse exprès pour me faire enrager. Si on me cherche, on me trouve. C'est quelque chose à ne pas oublier. Je déteste les gens qui se la jouent très cool et qui en fait n'ont aucune personnalité. Je hais les immitations, les phrases toutes faites que les gens aiment tant formuler et reformuler. Je déteste les gens qui viennent vous énerver parce que vous fumez dans la rue, je déteste encore plus lorsqu'ils sortent ces stupides statistiques sur les fumeurs et les dégats que la nicotine fait aux poumons. On doit tous mourir un jour, autant mourir de quelque chose de grave. Je déteste le jardinage, pour tout dire je ne comprends pas comment les gens peuvent être aussi obsédés par des plantes. Je ne supporte pas les gens qui appellent trop tôt le matin pour des raisons stupides, particulièrement des femmes. Je n'arrive pas à regarder un seul match de football US, ni de Hockey, le sport me rend malade lorsque j'imagine le salaire de ces bouffons. Je n'aime pas les femmes qui mettent des pots entiers de maquillage, je ne suis pas un fan des femmes qui portent du maquillage, ou du moins trop voyant. Je n'arrive pas à supporter le stupide accent Yankee, et je préfèrerais me coincer la tête dans une portière de voiture que de devoir assister à un concert de Justin Timberlake. Je déteste les femmes qui crient, ça m'agace au plus haut point. Non seulement la plupart ont une voix totalement énervante, mais en plus elles doivent avoir ces accents suraigus qui rendent complètement timbrés. Une dernière chose que je déteste : le parfum pour femmes. J'y suis totalement allergique.


Dernière édition par le Ven 12 Oct - 4:09, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Sean Wood | Finished   Sean Wood | Finished EmptyJeu 11 Oct - 3:54

Wahou j'adore le début de ta présentation hate de voir la suite^^

Enfin bref bienvenue parmi nous et bonne chance pour finir ta fiche^^
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MessageSujet: Re: Sean Wood | Finished   Sean Wood | Finished EmptyJeu 11 Oct - 5:44

    Physique : Je Suis Beau! Enfin, normal quoi. Je ne ressemble pas à ma soeur, fait plutôt bizarre mais que j'assume totalement. Il est plutôt vrai que lorsqu'on apprend que nous sommes parents, les regards deviennent grands et les gens ne me croient pas. Si quelqu'un n'a pas l'Air d'avoir un brin de ressemblance avec ma soeur, c'est bien moi. Enfin bref, je ne vais pas parler de ma soeur, ce serait long et ce n'est pas dans mon intérêt. Donc, je ne suis certainement pas un canon de beauté ultra-plastique qui passe sa journée à se fixer dans la glace en ayant horriblement peur du moindre poil qui pourrait pousser sur une région embêtante du visage. Ce n'est pas du tout mon genre, et côté physique, je suis particulièrement ennuyant lorsque l'on doit m'observer me préparer. Je m'habille dans le noir, et je l'assume totalement. Par là, je veux bien entendu dire que je me fiche et que je porte ce qui me tombe sous la main, même si j'essaie de garder un certain style, mais uniquement lorsque j'en ai besoin. C'est-à-dire lorsque je sors dans les bars pour draguer ou bien lorsque je fais une petite prestation. Pas envie de ressembler à Ronald McDonald dans ces moments-là, même si généralement les perruques et les nez de clowns ne font pas parti de mon attirail. Mon attirail, c'est pour la plupart du temps des pantalons strechs noirs, ou des jeans Levi's tout à fait ordinaires. Je peux porter environ n'importe quoi, avec la taille que j'ai ce n'est pas trop difficile à trouver de quoi m'habiller. Je suis un adepte de lunettes énormes et de vestes et manteaux de tous les genres. En passant du coupe-vent fluorescent à la canadienne qui pourrait très bien réchauffer dans un climat nordique, c'est un des accessoires typiques pour me reconnaître. Innutile de dire que la question "oh mon dieu mais qu'est-ce qu'il fiche habiller comme ça" peut bien sortir de la bouche de quelconque personne qui me voit dans mon accoutrement. Mais on s'en fout, c'est l'interieur qui compte et non l'extérieur...À moins que l'on nous ait menti sur toute la ligne, ce qui pourrait bien s'avérer probable.
    J'ai beaucoup de chaussures, aussi, mais ça c'est moins important. Des Converse, Vans, tout ce qui se te trouve dans ces eaux-là, j'en ai probablement un dans mon inventaire interminable. J'ai quelques bottes pour femmes, aussi, allez savoir qui est l'imbécile qui est partie sans.
    Je ne m'entraîne pas particulièrement et je ne me fais pas bronzer. D'un naturel relativement pâle, les cheveux mi-longs qui tirent du brun au noir, quelques mèches de temps à autres, j'ai une musculature assez fine et je ne suis pas un géant non plus. Proportionné de façon très satisfaisante, ce qui capte l'attention chez moi est probablement mes yeux. Je fais soit peur, ou les gens sont totalement absorbés par ceux-ci. C'est comme si c'était d'un seul coup d'oeil que les gens pouvaient me remarquer, mais c'est plutôt agréable tout de même.
    Autre chose plutôt marquante chez moi, c'est une pilosité extrème. Si je ne passe pas le rasoir tous les jours, je me retrouve avec la barbe de Mathusalem d'ici la fin de la semaine. Je suis un cas très extrème, je l'avoue, mais ça ne me dérange pas. Si l'on me voit parfois avec une barbe qui trahit mon véritable âge, il ne faut pas en être très surpris. Pour ce qui est du reste du corps, pour les curieuses qui ont envie de vérifier, je n'en dis pas plus, c'est à découvrir par vous-mêmes (l'art de se faire un peu de pub)
    Sinon, mis-à-part les lunettes de soleil, deux autres accessoires me sont très familiers ; les foulards parce que je suis un grippé chronique ainsi que les gants parce que mes mains sont terriblement glacées à l'habitude. Je suis un petit peu amateur de crayon de kôhl, et le vernis à ongles noir donne un effet plutôt cool lorsque l'on gratte une guitare dans une salle à la lumière tamisée.

    Signes particuliers : Je me gratte souvent le menton et je me passe la langue sur les lèvres. Je regarde toujours les gens dans les yeux, comme si je cherchais à les déstabiliser ce qui est il faut l'admettre un tout petit peu le cas. J'ai souvent des tics lorsque je suis en manque de nicotine ou de narcotique et je suis sans cesse entrain de regarder l'heure ou de la demander à qui que ce soit. J'arborde aussi un tatouage sur le poignet. Ça ne veut absolument rien dire, enfin si, mais il serait tout à fait innutile de vous expliquer ce que signifie cette trace rouge qui sème le mystère et m'a déjà valu des centaines de questions. Une seule réponse pourtant à mon actif : Ça-ne-te-regarde-pas. Sinon, mon signe de prédilection est le doigt d'honneur, avis aux intéressés...

III.Votre Histoire :



    Histoire : Jonathan Daniel Wood était un homme d'affaire en pleine ascension lorsqu'il a rencontré ma mère, Elisabeth Smiths. Sa plus grande aspiration dans la vie était de faire de l'argent et d'accéder au rang des plus grands actionnaires de la compagnie prétentieuse qui l'employait à l'époque. C'était le genre de type ultra-matérialiste qui n'avait que l'argent en tête, tout comme ses parents, ses grands-parents et ses arrières-grands-parents. Innutile de dire qu'avec de telles relations familiales, on ne pouvait espérer plus de ce cher Jo' qu'un caractère imprégné du dollar américain. Jusque là, tout allait bien, puisque mon père n'avait pas encore la tête trop enflée. Il était âgé de 31 ans, avait été conseillé par son père lui-même et avait été embauché dès sa sortie des études, où il avait obtenu une des meilleures notes de l'université. Mon père avait tout pour réussir, blablabla, le même fameux discour que l'on a l'habitude d'entendre et que j'ai entendu plus d'un million de fois, probablement. Mon père pensait avoir le monde à ses pieds à cet âge, à ce moment-là de sa vie. Innutile de dire qu'il a tout fait pour y arriver, et c'est d'ailleurs lorsqu'il venait de terminer une entrevue avec son grand boss (pour lui donner quelques conseils sur un dossier particulièrement important qu'il aurait prétenduement pu faire tout seul) que sa vie a pris un tournant décisif, dans un ascensceur en panne. Pour votre information personnelle, cet ascenceur fut par la suite réparé sur-le-champs, mon père ayant manqué un meeting ultra-important par la faute de cette "boîte de conserve électrique complètement stupide". Mon père n'a jamais été trop fort côté vocabulaire, probablement que c'était ma mère qui avait cette partie d'intelligence... Allez donc savoir.

    Ainsi donc, mon père sortait du bureau du grand boss et fixait sa montre, le même tic dont j'ai hérité, empoignant sa valise Armani de façon à ne pas l'échapper. Déjà à l'époque, ses revenus étaient plutôt pas mal, il faut tout de même l'admettre. Il appuya sur le bouton pour entrer dans l'ascensceur lorsqu'une jeune femme brune aux yeux bleus perçants (les mêmes que les miens) s'écria de retenir la porte pour qu'elle puisse entrer elle aussi. Comme un parfait gentleman, mon père accorda sa demande à la jeune femme et ils entreprirent de se rendre ensemble au stationnement souterrain. Mais il n'en fut pas ainsi, du moins pas à ce moment-là.
    Jonathan ne connaissait pas du tout la jeune femme qui se tenait devant lui pour une certaine raison. C'était une cliente bien ordinaire ou plutôt la fille d'un client qui venait vérifier si ses actions étaient bien en places et que la compagnie n'avait aucun ennui avec le transfert important d'argent que Grand-Papa Smith venait de faire. Ni Jonathan, ni Elisabeth n'eurent le courage de s'adresser la parole avant cette fichue panne qui dura plus de deux heures. Pour la suite, vous la connaissez sans doute déjà. Des discussions à n'en plus finir, un rendez-vous, un autre rendez-vous, puis un autre et un autre rendez-vous pour finalement terminer mariés, dans le lit durant leur nuit de noce. Ma mère a toujours vanté le fait qu'elle s'était mariée vierge. Je m'en suis toujours foutu éperduement, si vous voulez savoir. Leur mariage fut un succès franc, un peu comme les grandes fêtes que donnent les personnes très riches, si vous voulez que je vous dise la vérité. Des centaines de personnes étaient présentes et je doute fort que mes parents en connaissaient au moins la moitié. Mais de toute façon, quelle importance? Ma mère avait l'air d'une actrice des années 1940 dans sa belle robe blanche, le toxedo de mon père était d'un charme foux et lui donnait presque un air de Richard Gere...Mais beaucoup plus jeune. Le seul hic à la fête fut probablement que mes parents aient dit "oui je le veux". Ils sont toujours ensemble aujourd'hui, la vie peut parfois être si incompréhensible.

    Deux ans après leur mariage, mes parents commençaient à avoir envie de peut-être se mettre à faire des enfants, comme tout couple digne de ce nom. Ils avaient de l'argent, une jolie maison, des amis (beaucoup d'entre eux avaient des enfants, ce qui a probablement influencé leur choix), que pouvaient-ils ajouter de plus à leur vie parfaite de petites personnes banales et superficielles? C'est lorsqu'ils se sont mis à se poser cette question que ma mère est tombée enceinte de moi. Quel bonheur, sérieusement, que d'avoir en plus de tout ça un petit garçon. Elle ne savait visiblement pas à quoi s'attendre et mes parents, jusqu'à ma naissance, n'avaient aucune idée de ce qu'ils avaient bien pu engendrer. Il faut dire qu'ils devaient être bien trop préoccupés ; mon père par le travail et les dossiers qui se faisaient de plus en plus importants, lourds et épuisants et ma mère; les préparatifs de la chambre, les commandes de meubles, les crises de nerfs parce que ce n'était pas la bonne teinte de bleu et toutes ces histoires que seules les femmes peuvent bien évidemment faire. Seigneur, c'est probablement une expérience prénatale que ce traumatisme et ce désintérêt mortel pour tout ce qui est trop féminin. Enfin bref, elle s'attardait sur ces détails stupides, ennuyeux, engueulait qui voulait bien lui porter un peu d'attention et devait avoir terriblement peur de la suite. Innutile de dire que les accouchements lui ont toujours fait peur, à ce que je me souviens de la mine effrayée qu'elle a fait le jour où elle est partie à l'hôpital pour donner naissance à ma petite soeur.
    Le jour où elle a donné naissance à son premier enfant, moi, ce fut un évènement qui, cela m'impressionne beaucoup, n'est pas devenu un évènement mondial contrairement à ce que l'on pourrait croire. C'est particulier, parce que ce jour-là fût tellement le sujet de conversation de l'heure au bureau de mon père, et le téléphone ne cessa de sonner durant le premier mois qui entourrait ma naissance. Seigneur. C'est d'ailleurs lorsque l'on m'a raconté cette annecdote que je me suis jurré que si un jour (et ça, ça m'étonnerait beaucoup) je devais avoir un gamin, je débrancherais le téléphone.

    J'ai grandi avec l'honneur et la grâce d'être surnommé l'Enfant Turbulant. Durant les premières années de ma vie, je fus un véritable carnage. Dessinnant sur les murs, roulant dans les petites voitures pour enfants faites pour l'extérieur et marquant les planchers de ma mère qui devenait blanche puis verte, puis rouge de colère lorsqu'elle réalisait mes gaffes et me criait dessus. J'écopais aussi de claques et de cris de la part de mon père, mais ça ne m'a jamais vraiment affecté. Je continuais de faire à ma tête, après tout je n'avais pas à écouter mes parents, c'était quelque chose de tellement stupide, c'était beacoup plus amusant de faire à ma tête. Je poursuivais mes occupations, allais embêter les enfants du voisinnage, en particulier les fillettes qui se croyaient les reines de l'Univers. Déjà très jeune je rêvais de les remettre à leur place, c'est-à-dire en dessous de nous... Et il n'y a bien entendu aucun sous-entendu à mes paroles. Pour résumer en quelque sortes, jusqu'à mes six ans, ma vie ne subit aucun bouleversement majeur mis-à-part mes engueulades régulières avec mes parents, ou plutôt les engueulades régulières de mes parents à mon propos. D'ailleurs, c'est probablement parce que ma mère est tombée enceinte à nouveau qu'elle ne me faisait plus la morale, laissant la tâche hardue à mon père qui ne se privait pas des claques, des cris et des mots vulgaires en ma présence. Mais déjà tout jeune je me fichais de ce qu'il pouvait bien dire, et encore une fois je le laissais parler, retournant à mes occupations et foutant le trouble. Mes parents me firent voir un psychologue, mais il ne dénota chez moi qu'un besoin excessif de dépenser mon énergie et il n'osa même pas conseiller les médicaments. 'Ça allait me passer' qu'il prétextait. Malheureusement docteur ce n'est peut-être pas encore passé.

    Lorsque ma mère et mon père sont revenus de l'hôpital avec ma petite soeur, la babysitter qui devait 'se charger de moi' partait en larmes sous prétexte que j'étais un véritable démon. Mes parents l'approuvaient totalement et le seul moyen de me faire tenir tranquil fut durant un moment de me laisser m'occuper moi-même de ma nouvelle petite soeur, qui devint très rapidement l'objet de mon calme soudain. Il n'y avait qu'avec elle que je ne devenais plus un enfant turbulant, et uniquement avec elle j'étais doux et gentil, indulgent et je tentais de ne pas trop l'embêter. Ce fut bien la première fois que mes parents n'eurent pas à me blâmer, mais avec ma soeur ils me laissaient faire car je n'étais pas un diable et aussi parce qu'ils avaient souvent besoin de répis. Mais au fur et à mesure que je grandissais, que Ashley grandissait, mes parents commençaient à en avoir marre du fait qu'il n'y avait qu'avec elle que le calme existait, que le reste de temps je reste le même fouteur de trouble agaçant, délinquant et dont on ne savait plus quoi faire. Ce n'était pourtant pas que j'étais stupide, j'étais même très intelligent, très organisé et mis-à-part ce comportement désagréable envers tout le monde, mes multiples engueulades, j'excellais en classe et les professeurs réussissaient à m'apprécier modérément. Les filles notament m'aimaient beaucoup, mais je m'en fichais, jusqu'à l'adolescence où je vis en elles quelque chose de plutôt intéressant. Mais nous ne sommes pas encore à ce stade, parlons de mon enfance, cette période extrèmement difficile surtout pour les autres, mis-à-part ma petite soeur qui malgré quelques fois où je l'embêtais n'aura probablement jamais rien à me reprocher vis-à-vis elle. Un gamin qui tenait tête à ses parents, à ses professeurs, à tout le monde autour de lui et qui n'avait comme seuls hobbies que sa petite soeur, sa bande de racailles (de 6 à 12 ans, très menaçants je vous le jurre) et une guitare, car papa et maman avaient supposé que peut-être la musique pourrait me faire décrocher de mes envies de haîne et de rebéllion, ce qui fut un lamentable échec car par la musique je ne faisais que brûler un autre surplus de rage, de révolte et d'énervement vis-à-vis ce monde de femmes, qui déjà tout jeune me répugnait. En bref, je donnais beaucoup de fil à retordre à tout le monde, et j'en suis plutôt fier.

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Sean Wood

Sean Wood


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Sean Wood | Finished Empty
MessageSujet: Re: Sean Wood | Finished   Sean Wood | Finished EmptyVen 12 Oct - 3:50

    Mon adolescence ne fut pas bien rose non plus, si on y repense parcontre. Vers mes quatorze ans, je me mis à véritablement me rebeller, fumant, prenant de la drogue et flirtant avec quelque fille un peu niaise qui pouvait bien s'intéresser à moi. Il y en avait plutôt beaucoup, pour tout dire, et c'est d'ailleurs à cet âge que j'eus ma première aventure d'un soir, quelque chose qui m'est resté encré dans le sang. Je me suis jurré depuis cette époque que je n'aurais jamais de petite amie vraiment sérieuse, que des aventures. J'ai plutôt bien réussi sur cette voie, ma relation la plus sérieuse à cette époque s'étalant sur trois semaines et demi avec une fille appellée Candid. Pendant toutes mes années à l'école, mis à part draguer, semer la terreur et avoir une réputation de rebelle, défier les professeurs et m'engueuler avec le directeur étaient mes principales occupations. Mes parents furent très souvent convoqués et à la maison les cris fusaient, ce qui ne devait certainement pas être très agréable pour ma petite soeur. Lorsque mon père a perdu son emploi, j'imagine que ça n'a pas non plus beaucoup aidé... Je me rappelle vaguement des soirées où elle (Ashley) me suppliait d'arrêter de les faire enrager, mais c'était plus fort que moi. Lorsque j'eus atteint mes dix-sept ans, ayant ammassé quelques centaines de dollars, je décidai de ficher le camp en emportant toutes mes affaires. C'est ce tournant qui fut plutôt décisif dans ma vie, et je vécus plusieurs années dans la rue. Ma seule façon de survivre étant à l'époque de squatter des appartements, gratter ma guitare dans la rue pour quelconque somme d'argent. J'étais passé de status de gosse de riche à itinérant, et ce fut une expérience désagréable mais enrichissante. Je sais maintenant aujourd'hui que le lieu qui me réjouis le plus chez moi est ma douche...Ainsi que mon lit...Et le chauffage aussi. Finalement, la vie dans la rue est parfaitement à déconseiller.

    J'ai pendant ce temps là parcontre fait des rencontres plutôt enrichissantes et très sympathiques. C'est dans la rue que j'ai rencontré mes bons amis, d'ailleurs c'est avec eux que le groupe s'est formé et continue de vivre aujourd'hui, devenant de plus en plus fort ce qui est plutôt rassurant, si on pense au fait que mis-à-part la musique, ma seule aspiration est de ramener ces satanées femmes à leur place. À 23 ans, j'ai fait la rencontre de Mike Johnson, un garçon qui était plutôt dans sa bulle mais qui malgré tout était un excellant batteur, ce qui me fallait, en plus d'être un garçon qui malgré le fait qu'il soit un peu tête en l'air était l'élève parfait pour mes aspirations. S'est lié à nous Owen Smith, qui grand Dieu n'est pas parent avec moi non plus mais qui écrit des trucs magnifiques, et contrairement à certains il n'a pas besoin de l'alcool! Ensuite, Nate Standford, dont le comportement est celui que je recherchais particulièrement. Enfin, quelqu'un de moins adolescent attardé! En quelque sorte la tête forte du groupe, il est aussi un excellant pianiste. Nous avons continué à démarrer ainsi, nous produisant dans les bars, dans la rue, et petit à petit, je me suis mis à croire ainsi que les autres gars que peut-être il y aurait un moyen de rendre les choses plus 'convenables' qu'elles ne l'étaient. C'est d'ailleurs depuis ce temps que je fais confiance à Dieu et à tout ce 'charabia' qui pourraient bien nous être utiles pour arriver à nos fins. Les femmes ne se doivent pas d'être supérieures, il est temps que quelqu'un réagisse. En tant que rebelles, nous avions alors convenu que ce serait nous.


    Aujourd'hui : Aujourd'hui, ma soeur est fiancée, je lui souhaites tout le bonheur du monde même si elle sait clairement mon opinion sur les couples et le mariage. D'ailleurs, parlant de couple, j'ai rompu récemment avec Cecily, une imbécile de première qui en fait ne voulait que pouvoir raconter à tout le monde qu'elle était avec 'Sean Wood, le type qui chante' . En plein le truc que je ne recherchais pas, et c'est d'un presque commun accord que je l'ai larguée. Je ne compte pas reprendre du service en amour, et continuer sur cette voie d'heureux célibataire qui me plait tant depuis si longtemps. Après tout, il y a bien mieux à faire que de s'engager dans des trucs 'émotionnels' lorsque le monde est dans une position si effeminée. Entre les aspirations des rebelles, la musique et les aventures d'un soir, je trouve plutôt bien mon compte et les choses vont bon train. Je ne manque pas d'argent, j'ai un appartement chauffé et assez bien meublé, une guitare toute neuve, je ne vis heureusement plus dans la rue et je peux jouir d'une liberté infinie et encore mieux : je n'ai plus aucuns contacts avec mes parents, si ce n'est que ma soeur qui ose parfois aborder le sujet.

    Famille :Deux parents, Jonathan Daniel Wood et Elisabeth Camilia Smith. Je préfère ne pas parler d'eux, sinon je risque de ne pas être très gentil. Disons simplement que j'ai été trop brimé et qu'ils ne m'ont jamais inspiré grand chose d'autre que du dégoût. J'ai une soeur, Ashley, qui est probablement la seule et unique personne sur cette planète pouvant se vanter d'avoir tout mon amour à elle toute seule. Je ne souhaite que son bonheur, en fait elle est tout ce qui compte réellement pour moi. Au moindre problème, elle sait que je peux être là en un claquement de doigt et la simple idée qu'elle puisse en avoir me fait grincer des dents. Je suis un peu trop protecteur certes, mais je ne le fais que pour son bien et parfois, lorsque je pense au fait qu'elle est fiancée si jeune, je me demande si elle ne fait pas une erreur. De toute façon, si les choses tournent mal, ça risque d'aller plutôt mal pour ce Andrew...
    Relation sentimental :Deux exs à mon actif, une probablement centaine de coups d'un soir aussi à mon actif. L'amour n'est pas trop mon fort, en fait le sexe est particulièrement quelque chose dans lequel je suis plus impliqué. Je ne recherche pas de relations stables, pour la simple raison que c'est beaucoup trop dûr à gérer. Je trouve ça trop long, trop d'énergie que je pourrais placer ailleurs et qui servirait à bien mieux qu'à raconter des conneries à quelqu'un avec qui je ne finirai probablement jamais ma vie. Peut-être un jour, mais pour l'instant tout ce qui m'intéresse est cette fameuse Hilarie Sawyer. L'amie de ma soeur, certes, mais ça n'empêche pas un homme d'être un homme, si bien entendu vous voyez ce que je veux dire...
    Relation amical :COmme je l'ai dit plus haut, je m'entends plutôt bien avec les autres rebelles, particulièrement avec Mike Johnson, que j'ai rencontré dans la rue, comme pratiquement tous les gens qui me sont proches. Stephen Cordwell est aussi dans mon cercle d'amitié, mais sans plus d'affinités que notre point de vue commun sur la balance hommes/femmes. Je ne le connais pas vraiment, il faut dire, et je m'entends mieux avec Owen Smith et Nate Stanford, ainsi que Mike comme je l'ai nommé précédemment. Avec ces relations amicales, j'imagine que l'on ne peut qu'être servis et notre détermination commune et notre foi commune en de certains changements sont évidemment la base de toute notre amitié, avec la musique bien entendu.




IV. Vous : (Moi?)

    Prénom/Surnom : Emesele ou VIP Whore. Je vous rassure, ce sont des surnoms et non mes prénoms. (EMESELE, ce sont mes initiales verbalement).
    Âge : 18 ans, âge mental entre 10 et 30 ans, dépend des heures. Pour ce qui est de physiquement, on me donne 15, mais biologiquement, j'en ai 18. Pour ce qui est en âge canin, martien ou binaire, veuillez calculer par vos propres moyens.
    Fille ou garçon : Une Femme, mais une femme qui se prend parfois pour un homme.
    Personnalité sur l'avatar : Jared Leto. Ou l'Homme Qui Donnait des Calins.
    Niveau de Rp : Je fais dans les 40-60 lignes très aisément si on me donne l'opportunité d'écrire ^^'
    Code ? Edit admin oki (mais je préfère nettement le whisky)
    Comment avez vous connus le forum ? Diirty (un bisou à celui ou celle qui devine qui je suis mdr)
    Autre chose à rajouter ? Maintenant, me reste qu'à attendre qu'un membre dévoué veuille bien topiner avec cet espèce de E.T qu'est moi-même.
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Lucie Ferguson
ANGES DECHUT Destruction
Lucie Ferguson


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Citation: Méfiez-vous de l'eau qui dort...

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MessageSujet: Re: Sean Wood | Finished   Sean Wood | Finished EmptyVen 12 Oct - 6:32

Rien d'autre à dire que

Validée

J'adore tes petits commentaires dans la parti "Vous", je suis peut-être la seule à rire devant mon écran, mais bon quand on a fait 2 nuit blanche on rigole pour rien...OSEF, je sais...^^(racontage de life : off)

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